Pourquoi ESNA a été fermé?
Pour obtenir l'information , j'ai été en contact avec des
représentants de plusieurs organisations assyriennes et aussi avec le
tribunal de district de Stockholm, Suède.
Les informations que j'ai reçues de ces institutions sont la base pour cet article.
Après les récente et systématique attaques de notre site Internet, l'agence de presse
EasternStar Agence de presse, ESNA, a décidé de cesser leur activité
sur www.esna.se.
ESNA, le fait d'être indépendant des partis
politiques, des organisations, du pouvoir économique des sphères et des
affiliations religieuses, a été hautement apprécié par beaucoup. Bon
nombre des abonnés soulignaient l'importance de l'actualité par rapport son oeil objectif et neutre
Après
l'annonce de l'arret de l'actualité sur ESNA, le personnel de ce site a reçu de nombreux e-mails de lecteurs qui se sont portés
volontaires et ont offert leur aide pour continuer à faire vivre ESNA. Mais
cette aide ne ferait que résoudre le problème à court terme de rétablir
la page d'accueil de ESNA.
Le grand problème réel qui fait
que ESNA a arrêter leur activité est le fait que deux évêques de l'Église
syriaque orthodoxe avez appuyé sur des accusations contre ESNA au
tribunal de district de Stockholm, exigeant de grandes
dommages-intérêts. Ces évêques sont Hazail Soumi de la Belgique et Elia
Bahe, qui avait récemment déménagé au Canada. Ces évêques demande que
ESNA paie 300 000 SEK avec intérêt de dommages-intérêts.
ESNA a révéler que Hazail Soumi avait nieé le seyfo et des
irrégularités financières semble avoir été une grande menace pour ses
activités. ESNA a révélé que l'administration fiscale belge a remarqué que Hazail Soumi faisait du Business. Bien qu'il ne paie pas l'impôt sur le revenu il est titulaire d'une valeur de propriétés 3 millions d'euros.
Il a éstimé que ESNA devait arreter ces activités,il voulait les punir. ESNA éditoriale et son personnel a cessé
leur activité de se concentrer sur la défense contre cette attaque par
les évêques qui luttent contre le peuple Assyro-Chaldéen-Syriaque ,mais aussi contre la liberté de parole
17e avril, 2008
Matias Guren, journaliste indépendant